Pourquoi certaines questions restent «taboues» entre médecin et patient?
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Mycose, hémorroïdes, flatulences excessives, transpiration anormale ou mauvaise haleine. Parler de ses « désagréments physiques » avec son médecin n’est pas chose aisée. Si certains sont naturels et sans danger, d’autres peuvent être symptomatiques d’une pathologie.
Comment expliquer que certaines questions restent « taboues » entre le médecin et le patient, alors que leur relation est censée reposer sur la confiance et la transparence ? Ces tabous sont-ils différents en fonction des différents contextes, cultures ou lieu de vie ?